Deux ânes gravement maltraités saisis à Bierghes


Le 9 mai, un témoin constate à Bierghes l’état dramatique d’un âne, dont les sabots démesurés se recourbent vers le ciel, causant des douleurs extrêmes à l’animal. L’homme contacte Animaux en Péril, qui le dirige vers la police, l’âne se trouvant sur un terrain privé auquel l’association n’a pas accès.

 

À 18h le même jour, le Commissaire Neetens, en charge de la Proximité sur la Zone de Tubize, se présente au refuge. Il a déjà contrôlé la situation décrite par le témoin, et les photos qu’il a prises révèlent la gravité du cas. À la situation catastrophique de l’âne s’ajoute celle d’une petite ânesse, enfermée dans un réduit obscur à deux pas de son compagnon. Le Commissaire, dont l’empathie à l’égard des animaux ne fait aucun doute, contacte à notre demande le Parquet de Nivelles, où une magistrate tout aussi motivée confirme dès le lendemain matin la saisie immédiate et sans conditions des animaux.

Le lieu où se rend notre équipe est un taudis abritant entre autres un pigeonnier; la façade disparaît littéralement sous les empilements de ferrailles, de bidons et autres carcasses d’appareils électroménagers. La prairie défoncée est recouverte de crottins, et des barbelés émergent du sol comme des racines, ajoutant à la crasse repoussante du cadre la menace de blessures pour les animaux.
Dans ce dépotoir, un petit âne attend sa délivrance. L’animal se tient en équilibre sur des pieds qui font figure de record dans l’histoire d’Animaux en Péril: les sabots ne sont plus seulement recourbés «en babouche» mais montent verticalement, le long de la jambe, sur une vingtaine de centimètres. Les souffrances doivent être inimaginables, sans même parler du risque de déformations articulaires, probables au terme d’un handicap qui s’étale manifestement sur plusieurs années.
Le martyr monte docilement dans le van, et l’ânesse, arrachée à son cagibi, le suit peu après. La prisonnière semble âgée d’un an à peine, et n’a pas eu le temps de développer des pieds monstrueux. Mais elle porte, sur le chanfrein et dans la nuque, les traces d’un licol qui a accompagné sa croissance sans jamais être déserré. Comme son compagnon, elle a le corps et la tête marqués de pelades dues à l’action de hordes de poux, et son poil affreusement négligé fait penser à du chanvre. Les deux rescapés sont emmenés à Meslin l’Evêque, où il s’avère, nouvelle infraction, qu’ils ne portent pas de puce électronique d’identification (obligatoire depuis 2009)

Animaux en Péril tient à féliciter la police de Tubize et le Parquet de Nivelles, qui ont pris la seule bonne décision, et ont réagi avec un zèle et une efficacité dont nous aimerions rencontrer plus d’exemples. Nous sommes certes toujours en attente de la confirmation de saisie définitive par les Inspecteurs vétérinaires du Service Public Fédéral, mais il n’en demeure pas moins que jusqu’ici, l’intervention fait figure de modèle du genre, grâce à l’attitude irréprochable des autorités compétentes.

  ARTICLE ET PHOTOS DE ANIMAUX EN PERIL ( le 11 mai 2011)

 

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 A Trausse, les chiens agonisent dans les pieges.

minervois


L'émotion est vive à Trausse, au cœur du Minervois, où pour la deuxième fois en quelques jours, un chien vient d'être récupéré, agonisant, à l'extrême limite de ses forces, prisonnier d'un piège. Les faits remontent à vendredi dernier:, sur la route de Sicard, à Trausse, un passant est attiré par les gémissements d'un chien. En l'occurrence un petit épagneul à bout de forces, la gorge étranglée par un collet. Le pauvre animal était proche de la fin, il s'était vidé et bavait. Ce piège est constitué d'un nœud coulant formé par gros câble d'acier relié à une chaîne. Il immobilise l'animal en le serrant à la gorge, et plus l'animal essaye de s'en extraire, plus le câble se serre. On pourrait penser que ce chien a été la victime indirecte d'une opération d'élimination d'animaux nuisibles, mais le maire de Trausse, Julien Boutet, confirme qu'il n'y a pas, en ce moment, de campagne de piégeage sur le territoire communal et de toute façon, ce type de piège est proscrit.

L'adjoint au maire de Trausse, Jean-François Saïsset, a saisi ce collet qui a bien failli être mortel pour le petit épagneul et compte le confier, à fins d'enquête, à la gendarmerie de Peyriac auprès de qui la municipalité de Trausse va porter plainte.

« Cette cruauté dépasse l'entendement d'individus dignes de ce nom », peste Jean-François Saïsset, d'autant plus que c'est la deuxième fois en peu de temps qu'un chien est ainsi victime d'un individu dangereux, vraisemblablement un braconnier, qui traque le gros gibier, du sanglier notamment. « Mais cette fois, s'indigne le maire, le piège était vraiment près de la route ».


LA DEPECHE Le 10 mai 2011


                                    

                                         
                                              
                                                   


               
       

    

Des chevaux sauvagement agressés à Dinant (Belgique)

 


DINANT/LIÈGE - C'est la stupeur et l'indignation à Dinant. Des chevaux ont été sauvagement agressés dans une prairie de Pont-à-Lesse. La propiétaire, fortement choquée, lance un appel à témoin.

Les photos se passent du moindre commentaire. Nous vous prévenons d'ailleurs du caractère très choquant de celles-ci .....  www.facebook.com/media/set/fbx/

Alors qu'ils descendaient la Lesse, des inconnus ont sauvagement et gratuitement agressé trois chevaux aux alentours de 16h00 lundi dans une prairie de Pont-à-Lesse, à Dinan.

Bérengère Fayt, leur proriétaire, s'indigne et publie les photos du massacre sur facebook.

Ses chevaux ont été emmenés au CHU de Liège où ils sont soignés mais comme l'explique Bérangère, leur pronostic vital est "très mauvais". "Nous ne comprenons pas comment une telle violence est possible, je suis sous le choc et je veux retrouver les monstres qui ont fait ça.

D'après les premiers témoignages, un homme blond de taille moyenne a été aperçu en train de courir et de lancer des pierres dans le champ lundi après-midi. Il était vêtu d'un short et d'un t-shirt noir. Il porte un tatouage en forme de cercle sur le bras. Des enfants l'ont vu jeté des pierres. Il apparaît qu'un complice attendait le mafaiteur dans un kayak sur la Lesse.  

Au vu des blessures, très importantes, l'un des chevaux a sans doute été frappé d'un coup de pagaye. "Pour Tibet, qui venait de rentrer pour couvrir Azzell, on pense à un coup de rame métallique ou de hache, pour Pokupka, des morceaux de pierre étaient dans la plaie. Les ou les personnes ont tapé fort, avec détermination et un seul coup." écrit Bérengère sur son mur Facebook.

Choquée, la jeune femme a passé la nuit au CHU de Liège pour veiller ses chevaux. "Pour Tibet, il y a une grande fracture sous l'orbite et l'ophtalmo doit se prononcer sur l'avenir de son oeil droit. Le nerf facial est très probablement sectionné, le canal lacrymal aussi, les lésions sont très profondes." nous explique-t-elle dépitée, "Pour Poku, le crâne a explosé sous le choc et l'air passe par la cavité béante. Il y a une perte osseuse de 15 cm".

La propriétaire appelle à tout témoignage qui permettrait de retrouver les auteurs. Vous pouvez lui laisser un mail à l'adresse: faber.arabians@gmail.com ou contacter la police de Dinant en charge de l'enquête. (082/67 68 10)

La valeur des deux chevaux blessés (des pure-sang) est estimée à 30 - 35.000€.

Bérengère conclut son message par ces quelques lignes: "Priez pour nous, priez pour que leurs souffrances ne soient pas trop importantes, priez pour qu'ils puissent survivre et retrouver un confort de vie correct à nos côtés.

 

                         Article    de  L'Avenir.net             

 

APPEL A TEMOIN :  www.facebook.com/event.php


           


           
                                                       

              


      CHIENS TORTURES EN ITALIE


(Traduction de Googles)

Les chiens de l'Italie sont en train de souffrir dans les camps de concentration dans toute l'Italie! Le Gouv paie pour ces abris,ignorant que la plupart d'entre eux sont gérés par des criminelsCes criminels brutalisent,  négligent, battent, et mourir de faim ces animaux à la mort ! Ils ne sont jamais adopté! Ils n'en veulent pas le faire! Les animaux plus ils ont le plus d'argent dans leurs poches! S'il vous plaît signer la pétition pour exhorter le gouv Italain mettre fin à ces actes odieux contre les animaux.


         PETITIONS :


   www.thepetitionsite.com/1/ItalianKennelHell/

  www.care2.com/c2c/share/detail/1395093


Quelques photos de cette horreur

                

                


               


               


              


              

   
          D'autres photos sur ce lien : www.facebook.com/media/set/fbx/



                                                        





                       Un chien martyrisé retrouvé vivant dans un bassin de décantation


Colomiers

C'est un riverain, alerté par les aboiements de l'animal qui a prévenus les pompiers. Arrivés devant le n° 39 du boulevard Victor-Hugo, à 16 h 30, jeudi 7 avril, ceux-ci n'ont pu que confirmer les craintes du voisinage : un chien encore vivant était prisonnier au fond d'un bassin de décantation en ciment. Au fond du puisard profond de 4 mètres, les pompiers firent une autre découverte. Le chien de berger au pelage noir ponctué d'une tache blanche sur la poitrine avait une oreille sectionnée et sa cuisse gauche fracturée avait les chairs en charpie. Transporté chez le vétérinaire par les agents de la SAGPA, la société chargée du service de la fourrière municipale, le chien a été immédiatement euthanasié. « Il n'avait pas d'autres blessures sur le corps et la coupure de son oreille était cicatrisée. Mais c'est la première fois que l'on m'amenait un chien dans un tel état », précisait hier le vétérinaire. Pour Anne Sanchez, la directrice de l'antenne toulousaine de la SPA, qui va déposer plainte auprès du commissariat de Colomiers, le chien pourrait avoir été victime de sévices. L'état de son arrière-train à vif et atrocement meurtri pourrait également être la conséquence d'un accident de la circulation. Mais quelle que soit l'origine de la blessure rien ne permet d'expliquer comment l'animal s'est retrouvé prisonnier au fond d'un bac de décantation gorgé de boue et d'eau usée.

La SPA demande à toute personne susceptible d'apporter des informations sur les circonstances des blessures infligées à ce chien d'appeler le : 05 61 47 60 00 ou le 05 61 47 62 60.

  
De LA DEPECHE
                                                                                                                                                                                          

                                                                                  





                                                         



              
UN CHIOT COUVERT DE PLAIES ET D'ASTICOTS :

 

 

la SPA porte plainte pour "maltraitance et tortures"


LIMOUX:

Des plaies béantes, suppurantes et recouvertes d'asticots, le tout accompagné d'une odeur pestilentielle… Le week-end dernier, c'est dans ce bien triste état qu'un habitant de Pieusse a découvert un jeune labrit qui errait sur le bord de la route, à quelques mètres du domicile de son maître ! Remarquant ces blessures impressionnantes alors qu'il caressait l'animal, le Pieussan décide alors d'amener le chien, âgé de huit mois environ, chez le vétérinaire. 

Sur place, ce dernier découvre que l'animal était littéralement prisonnier d'un collier de chiot qui l'étranglait,

ceignant ses chairs, et laissant même   entrevoir la trachée-artère sous les poils collés   . 

A cause de ce garrot lui serrant la gorge, le chien ne pouvait se nourrir correctement, si bien qu'il était «   tellement affamé qu'il mangeait ses poils », selon le responsable de la SPA.
 

Malheureusement, le pire restait à venir avec la découverte d'une plaie ouverte, purulente et couverte d'asticots sur toute la largeur du cou. «   Sa guérison devrait nécessiter plusieurs mois de soin », estime-t-on à la SPA.

Le maître bientôt entendu ?
Quoi qu'il en soit, devant l'ampleur de ces blessures, la SPA a décidé de porter plainte dans la semaine contre le propriétaire du chien qui devrait donc être prochainement entendu par les gendarmes de la brigade de Limoux. Ce dernier a bien reconnu posséder l'animal. Il aurait même affirmé que son chien vivait en permanence à l'extérieur, sous son balcon d'où il lui jetait de temps en temps de la nourriture, ainsi que de l'eau par le biais d'un tuyau d'arrosage. En attendant, malgré ces tortures subies de longs mois durant, le labry est resté particulièrement affectueux. Toute personne qui souhaiterait l'adopter peut d'ores et déjà contacter la SPA.
 
                                                L'indépendant, le 6.04.2011 

                              


                          


 PUBLIE PAR  ONE VOICE
  :
                        

 

         61 chiens et 3 ânesses sauvés de l’enfer

                

Sans nourriture, sans eau, attachés, enfermés, souillés… Ainsi subsistaient les dogues du Tibet et ânesses d’un « élevage » savoyard où bien des leurs ont péri dans les pires souffrances. Le 28 janvier 2011, grâce à la mobilisation des gendarmes, pompiers, vétérinaires et à l’intervention de One Voice, appuyée par plusieurs associations, ils revenaient à la vie.

Un véritable calvaire.
Quand, le 20 janvier, l’enquêteur de One Voice pénètre dans ce domaine avec les différentes autorités de contrôle, c’est la stupeur. Ce n’est pas un élevage qu’ils découvrent en effet, mais l’enfer. Les chiens sont attachés, parqués là dans un hangar, ici une grange ou encore dans une cave, dont une avec des chiots. Ils ne sortent jamais, condamnés à survivre parmi des détritus et leurs déjections. Une chienne et ses petits sont même enfermés dans la carcasse d’une voiture. Les ânesses sont logées à la même enseigne. Tous sont abattus, terrorisés, désespérés.

En dessous de tout
Dans ce cadre, évoquer l’absence de conformité devient presque dérisoire. Car il n’y a là pour les animaux ni nourriture ni eau et certains ont usé leurs dents à gratter terre et cailloux pour s’alimenter. La plupart sont à bout de forces et certains dans un état cachectique avancé. Le vétérinaire constate de nombreuses pathologies, certains sont affligés de blessures, deux des chiens sont aveugles.

Opération sauvetage
Il faut évidemment agir vite. Entre la visite de contrôle du 20 janvier et la saisie des animaux, il se passera huit jours. C’est peu, hélas plusieurs chiens n’auront pas pu attendre… Le feu vert est donné le 26 janvier. L’opération One Voice lancée le 28.
L’Association prend en charge l’intégralité de la saisie et finance tous les frais de transport et de soins vétérinaires.
Le capitaine de gendarmerie Maurice Broche dira : « Malgré toute la souffrance endurée par ces chiens pendant toutes ces années, leurs yeux étaient encore pleins d’amour et semblaient comprendre que leur calvaire était terminé ».

« L’union fait la force »
Plusieurs structures prêtent main-forte à l’opération en accueillant des chiens : Animaux Secours à Arthaz  (74), l’APAHD d’Embrun (05) et les SPA de Marlioz (74), de Chambéry (74), d’Aix-les-Bains (73), de Bellegarde-sur-Valserine (01), de Veynes (05), ainsi que les représentants du Club du dogue du Tibet. Enfin, l’Arche de Noé d’Ernolsheim-sur-Bruche (67) prend en charge les 3 ânesses. Qu’ils soient tous ici chaleureusement remerciés.

Macabres découvertes
Le jour de la saisie, de terribles découvertes seront faites. Une centaine de cadavres, et aussi des fœtus, des têtes de chien, sont recensés. Certains dans des sacs-poubelles traînant à même le sol, d’autres entassés dans un vieux congélateur hors service. L’éleveuse dira qu’elle donne les cadavres de chiens en pâture aux chiens. Une plainte va être déposée par One Voice pour actes de cruauté.
Mais One Voice ne peut s’arrêter là. L’Association a imaginé une structure, la « Cellule Zoé », laquelle interviendra en situation d’urgence, et aussi en amont pour que cessent ces actes monstrueux.

ACCEDER AU SITE  ONE VOICE :   www.one-voice.fr/

                                                         
                                                                            ZOE avant sa liberation
 



                                  
             
                                       

       

              Un cheval emmuré vivant


Terrible découverte jeudi soir à Colfontaine

MONS : Le parquet de Mons ouvre un dossier pour maltraitance après la découverte jeudi soir à Colfontaine, d’un cheval agonisant abandonné enfermé et emmuré depuis plusieurs semaines dans une sorte d’abri dont les ouvertures étaient barricadées, obturées, sans lumière.

Le jeune cheval, a dû être euthanasié. La police de Colfontaine a prêté son concours à l’intervention des services d’Animaux en Péril, laquelle annonce qu’elle déposera plainte et se constituera partie civile.

Le cheval a été trouvé en décubitus latéral abandonné, encore appelé position de mort . Alors qu’il devait user ses dernières forces à tenter de se dresser, le cheval a dû blesser et s’éclater l’œil droit. Faute de tout soin, la blessure est devenue ce que les vétérinaires appellent œil en boule de billard.

Pour la vétérinaire, l’animal, appelé Sisko , a “souffert le martyre”. Selon son propriétaire, le cheval “était bien soigné” .

Le peu de nourriture, parfois une poignée de grains, lui était jeté à travers les interstices de sa prison. Sisko ne l’aurait pas quittée “de tout l’hiver”. La photo montre de la paille. C’est trompeur. En fait, la paille a été ajoutée lors de l’intervention jeudi soir. L’endroit était dépourvu de litière, l’animal à bout de force était couché à même le sol de béton et de briques.


Les descriptions vétérinaires valent tous les discours : cachexie et fonte musculaire à un stade dépassant l’extrême maigreur; escarres généralisés; myopatghie (dégénérescence des poumons); gale sévère (poux visibles à l’œil nu); membre postérieur droit raide; plaies à vif nombreuses conséquences de plusieurs mois d’épuisement dans ses excréments sur un sol de béton.

Un poney shetland a aussi été trouvé sur ce terrain de la ruelle de Widgies : parasité, galeux, sans soins.

Vendredi matin, le parquet de Mons a confié le poney à Animaux en Péril, confirme la porte-parole de l’asbl : Marie-Laurence Hamaide parle d’”un des pires cas jamais traités par l’asbl” qui en a pourtant déjà vus. Et précise que la loi de 1986 prévoit jusqu’à 3 mois d’emprisonnement et 5.000 euros d’amende.

                                    Le 02.04.2011   Gilbert Dupont "La derniere heure"


                                          

                                        

             
                                   


                Le petit bichon est mort

Hier en fin d'après midi, le petit bichon retrouvé dans une poubelle vendredi vers 1 heure du matin à Annecy est décédé à la clinique vétérinaire. Une mort causée par ses blessures mais aussi par plusieurs maladies dont l'animal semblait souffrir depuis quelques temps. Le petit chien avait été retrouvé vendredi, dénutrit, en hypothermie sévère (34°C au lieu de 38,5°C), et dans un très mauvais état général déshydraté, dans un container à ordure.

C'est une triste nouvelle qui touchera tous ceux qui s'étaient attachés à ce petit chien.

                                                                                  Le 03.04.2011  Le dauphiné
 

 
 un bichon vivant au fond d'une poubelle 


ANNECY (HAUTE-SAVOIE)


Drôle d'émotion, la nuit dernière, pour un Annécien qui rentrait chez lui après un dîner entre collègues. En arrivant à son domicile, peu avant 1h du matin, il a entendu des gémissements provenant des containers à ordure, déposés le long de la copropriété.

Craignant ce qu'il pouvait découvrir, il a soulevé délicatement le couvercle et découvert, tout au fond de la poubelle, contre des sacs d'ordures, un petit bichon blanc.

L'homme a aussitôt enlevé les sacs et incliné le bac pour faire glisser doucement l'animal, qui est sorti de là tremblotant de froid et de peur.

La police s'est rendue sur les lieux et a emmené l'animal, en piteux état dans un centre vétérinaire.

Mal nourri, maltraité et presque mort...

Le pire est à venir. Et ce sont les vétérinaires qui ont recueilli le chien qui ont fait le triste constat. Dénutrit, en hypothermie sévère (34°C au lieu de 38,5°C), le chien était en très mauvais état général. Pas brossé, le poil sale, l'oeil fermé par une mauvaise infection, des ongles de plusieurs centimètres aux pattes, recourbés à force de ne pas être coupés... 

L'animal a sans doute vécu un véritable calvaire de plusieurs semaines à plusieurs mois au moins?... Tout ça pour finir, jeté dans une poubelle, promis au broyeur du camion benne qui passe tous les matins entre 8h et 9h.

Sa survie est toujours jugée incertaine, les vétérinaires ignorent si les soinjs parviendront à lui faire retrouver une santé normale. Il est pour l'heure toujours sous perfusion, apathique, n'ayant ni la force de se redresser et même pas d'aboyer, même si sa température est stabilisée..

 

    par Stéphane BOUCHET  Le 01 Avril 2011  Journal:  ledauphine


                                 
                              
 Le bichon était déjà en mauvais état avant d'être jeté dans une poubelle, comme un vulgaire déchet.


                                

 C'est le long de la haie de cet immeuble que le petit bichon a été trouvé la nuit dernière, tout au fond d'une poubelle.

                                   
                            

            
                        
                              Aux Etats Unis

 

 

Le 16 mars dernier un éboueur du New Jersey, aux Etats-Unis, s’apprête à verser le contenu d’une poubelle dans un compacteur lorsqu’il remarque un sac qui bouge. En l’ouvrant, c’est la stupeur : un chien, squelettique et presque mort, gît à l’intérieur. L’animal avait été jeté dans le vide-ordure du 22ème étage !

Immédiatement, le pauvre chien est secouru et emmené en urgence dans un centre de soins pour animaux. Le personnel du centre n’avait jamais vu un animal dans un état aussi horrible. Les premiers soins apportés, il est conduit dès le lendemain dans une clinique spécialisée pour y recevoir des soins plus poussés.

Il y a reçu un bon bain, une transfusion sanguine, des antibiotiques et médicaments contre la douleur ainsi que des bouchées de viande à intervalles réguliers. Il les a acceptées avec de petits mouvements de la queue en signe de reconnaissance.

Les médecins qui l’ont examiné ont déclaré que Patrick serait mort en quelques heures s'il n'avait pas été sauvé. Quant à la coupable, une femme de 28 ans, elle s’est défendue en disant qu’elle ne pouvait plus s’occuper du chien mais nie l’avoir jeté dans le vide-ordure.

Accusée d'abandon et de «manquement à fournir la subsistance appropriée à un animal», elle ne risque que 6 mois de prison et une amende maximale de 1000$...

Partout, des réactions de compassion envers Patrick
Patrick reprend lentement mais surement « du poil de la bête ». Il a d’abord réussi à lever la tête, puis s’asseoir, se tenir debout et il parvient maintenant à marcher un peu le temps de faire ses besoins.

Son histoire a suscité de vives émotions aux quatre coins du globe. En Italie, France, Grèce ou Australie, les gens ont réagi à son histoire. Des cartes, lettres et dessins lui sont envoyés pour lui souhaiter bonne chance.

Une page Facebook, « The Patrick Miracle »    www.facebook.com/ThePatrickMiracle   a été créée pour lui et donne régulièrement des nouvelles sur ses progrès et son état général. Une autre baptisée Patrick’s Law (la « loi Patrick ») et destinée à faire évoluer la loi contre les maltraitances animales, a également vu le jour.

Depuis, ce pauvre petit chien qui a tant souffert est devenu le visage de la violence envers les animaux et le symbole des changements à apporter dans la législation. Tout ce que Patrick sait, cependant, c’est qu'il est maintenant au chaud, le ventre plein, à l’abri de la douleur et aimé pour la première fois dans sa vie. Tant mieux, c’est tout ce qu’il mérite.

                                              
                       
                                              

                                              

                                              

                                              

                                                                       

                         
                                              
                

                  Regardez le monstre qui lui a fait ca, cette femme mérite de souffrir, dans un pays comme les Etats Unis elle devrai etre condamnée à perpetuité ou à la peine de mort ... mais hélas elle risque 6 mois de prison et 1000$ d'amende, que le monde est injuste ..



                                 

                            

 

  Un chien victime d'actes de torture et de barbarie par son maître et un ami à Valenciennes (62)

 

Ce genre de faits divers n'arrive pas qu'aux êtres humains. Un être vivant, un chien de race berger allemand, a été victime le 19 mars dernier à Thivencelle, d'actes de tortures et de barbaries.
Il est environ 21 h 10 ce soir-là, quand le voisinage du propriétaire de l'animal a été alarmé par d'étranges bruits venant de l'habitation où se trouvait le chien. Une fois le commissariat de Condé-sur-l'Escaut prévenu, le berger a été retrouvé fortement blessé ,du sang tachant son poil.

Des coups de bâtons à piques

Le maître de l'animal était ce soir-là avec un ami. Ils auraient, tous les deux, portéde nombreux coups avec des bâtons à piques sur l'animal. Ce dernier, âgé de dix ans ne pouvait pas trouver la force de se défendre. Une fois l'intervention des policiers dans la propriété, le chien a immédiatement été conduit chez le vétérinaire de la SPA de Marly.

Paralysé à l'arrière-train

Le docteur Rosoux a constaté après l'examen de l'animal, une paralysie de son arrière-train. Le chien, victime des coups, a perdu toute sensibilité. Le vétérinaire a également remarqué de multiples plaies sur la tête et au cou. « L'animal est maintenant hors de portée de son maître. Il est soigné au refuge », indique la directrice de la SPA. L'organisme de protection des animaux a été très vite contacté par le commissariat de Condé, afin de prendre en charge le chien.

Celui-ci est donc toujours en vie mais ses jours sont comptés. Il se bat pour rester en vie en continuant à réserver une grande confiance à ceux qui le soignent. Les deux personnes mises en cause dans cette maltraitance gratuite ont été ce soir-là placés en garde à vue. La SPA a, quant à elle, porté plainte contre les auteurs de ces faits, pour blessures volontaires sur animal domestique.     K. M.

                                                Article de La voix du nord du 25.03.2011
 

 

Petition contre ces 2 barbares:www.lapetition.be/en-ligne/justice-pour-les-2-tortionnaires-9611.html

                                                     


                                                             





                                                                                    

 

 
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  EN LIBYE :

 Aux infos de TF1 journal de 20H ce 20.3.11, le peuple libyen utilise un chien, genre labrador, pour représenter leur président.

Il l'a affublé de lambeaux de tissu sur le corps et la tête, lui a noué une oreille et lui lance des p...rojectiles ...sur le museau ; le pauvre chien souffre, est effrayé et est prisonnier du groupe d'humains.

Torturer un animal pour se défendre en politique est inadmissible....

 Pétitions : www.petitionpublique.fr/PeticaoVer.aspx 

                   lapetition.be/en-ligne/petition-9571.html 



              
       

AudeOkaïdo, victime d’un ignoble acte de cruauté

     

Le chow-chow âgé de 13 ans a été empalé sur un tournevis ou un gros clou. Il a survécu grâce à une opération.

Qui a bien pu faire subir de telles atrocités à Okaïdo ? Pour l’heure, et malgré un appel à témoin lancé par la propriétaire de ce chien de race chow-chow, aucune réponse n’a pu être apportée (*).

Les faits se sont produits à Villalbe, vendredi dernier, entre 11 h et 11 h 30. Ce jour, Okaïdo a fugué de son domicile, avant de revenir sérieusement blessé. « J’ai vu qu’il avait du sang. Il était très choqué et baissait la tête. En regardant d’un peu plus près, j’ai vu qu’il avait un petit trou dans le thorax. Au début, j’ai cru qu’il avait pris un plomb », témoigne Sandrine Revel, la propriétaire de l’animal.

Aussitôt, elle s’est donc rendue chez le vétérinaire, qui a constaté une plaie perforante au niveau du thorax, avec fracture des côtes et du sternum, ainsi qu’une dent déchaussée et une plaie derrière l’oreille gauche. « Le vétérinaire m’a dit qu’il avait été empalé, vraisemblablement avec un tournevis ou un gros clou », explique Sandrine Revel, encore sous le choc.

Opéré vendredi, Okaïdo pourrait bien subir une autre intervention chirurgicale, en fonction de l’évolution de son état. En attendant, c’est au commissariat que la propriétaire s’est rendue, lundi puis mardi, pour y déposer deux mains courantes. « J’ai apposé plusieurs affiches sur Villalbe, pour informer la population de ces faits et solliciter d’éventuels témoins. J’ai aussi discuté avec une dame du quartier, près de l’église, qui m’a indiqué qu’elle avait vu trois jeunes qu’elle ne connaît pas, à l’endroit où les faits se seraient produits. Je ne sais pas qui vit à cette adresse, mais il y a des adultes qui travaillent sur des véhicules dans leur jardin, où de nombreux outils pointus auraient pu servir à commettre les violences sur mon chien... ».



                                  

Dix chiens de chasse martyrisés ont été saisis

Les animaux ont été confisqués à leur propriétaire. 

Un mas perdu dans la campagne de Saint-Paulet-de-Caisson, hier matin, aux alentours de 10 h 30. Sur la petite route, une enfilade de voitures avec en tête de cortège un véhicule estampillé gendarmerie nationale. Suivent au pas des camionnettes à l’effigie de la fondation assistance aux animaux. L’objectif du jour ? Sauver une quinzaine de chiens de chasse vivant dans des conditions non acceptables. Les moteurs se coupent un à un, et c’est la mine concentrée que tous les occupants s’approchent du domicile du propriétaire de la meute. Le chemin boueux conduit tout droit sur des chenils où des chiens et des chiennes de chasse comptent les heures.

« Je les trouve rachitiques et affamés » 

Stéphane Lamart, de la fondation Assistance aux animaux. Certains, curieux, pointent immédiatement le bout de leur truffe, tremblotants, alors que d’autres carrément inquiets vont se terrer dans leur niche. Sur le sol bétonné, s’amassent déjections et autres déchets. Les chiens sont maigres et d’après les membres de la fondation, souffrent visiblement de déshydratation. Stéphane Lamart, inspecteur principal de la fondation, descendu de Paris pour diligenter l’opération, s’insurge : « Je les trouve rachitiques et affamés. C’est typique de la manière dont les chasseurs traitent leurs chiens. Ils les utilisent quand ça les arrange, puis les laissent pourrir dans une cage quand ils ne les abattent pas d’un coup de fusil ». 

Les membres de l’association s’attellent déjà à sortir les chiens de leurs cages. Certains, partent en laisse. D’autres, trop faibles ou trop peureux pour assurer quelques pas, sont pris à bras. Une opération sauvetage qui s’égrène sous le regard des gendarmes de la brigade de Pont-Saint-Esprit mandatés par le parquet de Nîmes dans le cadre de cette saisie. C’est la SPA de Vallérargues qui a 
alerté les militaires à la fin de l’année dernière, après qu’un anonyme leur a relaté les conditions de vie de la meute de chasse. Les gendarmes ont alors procédé aux investigations. C’était le 20 décembre dernier. Photos, audition du propriétaire et des témoins... Puis l’ordre, quelques semaines plus tard, donné par le procureur de la République de Nîmes de procéder à la saisie des animaux. Ce mercredi, les femmes et les hommes venus au secours des chiens n’en trouvent que dix. Trois auraient été éventrés lors d’une battue au sanglier. Deux manquent à l’appel sans explication vérifiée. Le propriétaire des animaux n’étant pas là, c’est son frère qui renseigne les forces de l’ordre. 

Un peu plus loin sur le chemin de terre, un voisin est venu aux nouvelles et lance furieux : « Traiter ses animaux de la sorte c’est impardonnable. Quand on n’aime pas les bêtes, on ne peut pas aimer les hommes »

Rumeurs... 

Les forces de l’ordre, les membres de la fondation Assistance aux animaux et la représentante de la DSV s’attendaient, hier matin, à secourir quinze chiens. Ils n’en n’ont trouvé que dix. Selon les explications du frère du propriétaire, trois auraient été tués lors d’une partie de chasse ; les deux autres manquants auraient pu être prêtés à d’autres chasseurs, une pratique qui serait courante dans le milieu. En effet, contre une certaine somme d’argent, les meilleures bêtes seraient louées à d’autres.

                                                                     YANNICK BONNEFOY  "midi libre"



                                         





                                                                


          

                                  
                                                  



Des mois pour remettre sur pied la meute 

Les chiens ont été emmenés au refuge de l’organisme, à Bellegarde. En trois mois, ce sont quelque 500 chiens que la fondation 
Assistance aux animaux a récupérés aux quatre coins de France. Sans compter tous les autres animaux (du chat, en passant par les nouveaux animaux de compagnie, à l’instar de serpents et autres araignées) qui sont placés dans les refuges français de l’association. Les dix canidés récupérés à Saint-Paulet-de-Caisson hier matin, ont été conduits à Bellegarde. « Actuellement nous y avons une centaine de chiens », commente un membre de la fondation. 

Avant de rejoindre leurs homologues, la meute de Saint-Paulet devait subir des contrôles vétérinaires afin de déterminer avec précision leur état de santé. « À première vue, ils sont sous-alimentés, affamés, et probablement infestés de parasites. Nous allons également devoir procéder à des échographies sur les femelles afin de vérifier qu’elles ne sont pas en gestation. » Ensuite, les animaux vont être vaccinés et recevoir tous les soins qui leur sont nécessaires. « Puis ils vont être resociabilisés. C’est une étape qui prend du temps. Ces chiens-là sont gentils, mais peureux. Peut-être certains ont été battus. Il va falloir prendre du temps, mais en agissant avec respect et affection on peut arriver à des résultats surprenants », rajoute Stéphane Lamart, inspecteur principal de la fondation Assistance aux animaux, œuvrant au service juridique et enquêtes à Paris. Enfin, d’ici quelques mois, les chiens seront proposés à l’adoption aux particuliers et, quoi qu’il arrive, comme il est légion dans la fondation, aucun ne sera euthanasié. « C’est une pratique que nous nous interdisons. Si nous sauvons les animaux, c’est pour leur offrir une vie meilleure après notre intervention. » 

                                                                                               
                                                                                                                           ALISSANDRE ALLEMAND

    Article : 2 mars 2011 du Midilibre


                                               




                                                                                 



                                


 

          LA PROTECTRICE  DE LA HONTE ! ! !
          LES ANIMAUX SONT EN SECURITE


 L'intervention de Christelle de l'association de Gagos-france, 

Voila le récit de Christelle : 

"Je suis allé hier à la demande de la déléguée de l’association  Galgos-France des Yvelines pour essayer de retirer  2 chiens au domicile d'une association de protection animale à Sartrouville. 

 

Soutenus par les forces de l’ordre et les pompiers nous avons pu pénétrer et voir ce qu’il se cachait derrière les volets clos de cet appartement situé en rez-de-chaussée.

 

Une odeur nauséabonde,  des chiens divaguant dans leurs excréments, à peine si certains tenaient sur leurs pattes tellement,  ils étaient maigres.

Les chiens cherchaient la nourriture, ils rentraient à l’intérieur des sacs vides et pourtant de nombreux sacs étaient entreposés dans une autre pièce. Je n’ai pas vu de gamelles d’eaux ni croquettes.

Quand les pompiers ont ouvert la porte, est sortie un épagneul breton et un braque tout de suite ils ont été mis en sécurité dans la voiture et nous avons commencé à sortir un a un les toutous pour certains pas facile à attraper ! 

J’ai été choqué par l’attitude du  conjoint de cette soi-disant protectrice. Un petit chien croisé noir  était sorti de l’appartement et en  essayant  de l’attrapé le toutou a tenté de le mordre  et ce dernier d’un coup de pied  a fait rentrer l’animal. Et ce gentil beauceron la peau sur les os  qui quémandait de la nourriture, ce beau berger et tout les autres dans un état pas possible,  le chow-chow adorable si triste. Cet épagneul breton le regard éteint malade de la leishmaniose comme sa copine Payra  sans traitement.
J’ai aperçu 2 chats les autres étaient tous cachés, ils y avaient des rongeurs une Perruche omnicolore l’état des cages immondes sans nourritures.
Nous avons  pu récupérer 19 chiens dans un état de maigreur extrême,

2 chiens sont restés sous le lit tellement,  ils avaient peur ils essayaient de nous croquer.

Nous avons pu faire une pose chez la sœur de la bénévole de galgos-France
Pour donner à boire et à manger et que tout les toutous puissent se dégourdir les pattes, ils n’avaient pas vu la lueur du jour ni  un brin d’herbe depuis des mois.
Les chiens ont été placés dans divers refuges et associations en attendant que les protecteurs  qui ont placé ses chiens  puissent les récupérer.

 

 


Maintenant il faut se mobiliser pour récupérer tous les animaux partis en fourrière.

Les chats, 2 chiens restant que nous n’avons pas pu prendre nos véhicules étaient remplis, les rongeurs et la perruche.

Il est quand même désolant de voir ce genre de comportement qui porte un discrédit à la protection animale.  

Je suis consterné du bilan de cette journée, avec tout ce qu’ils nous donnent de passion et d’amour, je ne comprends pas que certains puissent leur offrir en retour tant de haine.

J’espère maintenant que la justice condamnera sévèrement ces individus."

   

    VOICI QUELQUES PHOTOS QUE L'ASSOCIATION A FAITE Chez la PRESIDENTE DE L'association SOS AA , Madame Marie Noelle C


                            

                            

                            

                            

                            
 

                     D'autres photos et le recit de Christelle sur ce lien

        www.amis-des-levriers-espagnols.fr/article-la-protectrice-de-la-honte-les-     animaux-en-securite-68481043.html
                            



                                                              



                      
      


           AIDEZ LES GALGOS D'ESPAGNE

                                
                                                    www.levriers-sans-frontieres.com/


                   


                  

                      


                             


 

Semur-en-Auxois : maltraitance sur animaux



29 animaux maltraités par une femme de 60 ans ont été saisis et recueillis en partie par la SPA.

Six chiens, six chats, des lapins, des oiseaux et beaucoup de rongeurs vivaient dans cette maison dans des conditions d'hygiène déplorables. Leur propriétaire dit les avoir recueillis "par charité".

Les chiens étaient attachés à des longes extrêmement courtes, vivaient dans leurs excréments, les chats étaient enfermés dans des clapiers, des cadavres de lapins jonchés le sol. Ces pauvres animaux étaient nourris rarement et l'eau des écuelles avait gelée aprés les températures négatives de ces derniers jours.

La femme de 60 ans, qui vit seule, a expliqué vendredi (4 février 2011) aux gendarmes avoir agit '"par charité" mais s'est laissée dépasser par des infrastructures limitées.

Les animaux lui ont été retirés et confiés à la SPA des Cailloux à Dijon. Les oiseaux ont été pris en charge par le parc animalier de l'Auxois à Arnay-sous-Vitteaux.

La sexagénaire sera convoquée prochainement devant le tribunal correctionnel pour mauvais traitements sur animaux.

                         
   Publié le 07/02/2011  par J.V  par info-bourgogne



                                  

 

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